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Connect soutient la reconstruction de Prayon, village ravagé par les inondations

mardi 11 janvier 2022

Mi-juillet 2021 restera un moment noir pour l’histoire de la Belgique après que des inondations sans précédent ont frappé l’est du pays. Près de six mois après, l’aide reste nécessaire. Étant donné que l’un de nos consultants, Louis-Paul Eggen, vit dans cette région fortement impactée, Connect a décidé d'en soutenir la reconstruction. Ce blog ne pouvait donc être rédigé que par une seule personne : Louis-Paul.

Si nous ne restons jamais insensibles à ce type d’événements dans quelque endroit du monde, voir sa région dévastée par des flots incessants, inarrêtables et impitoyables ajoute un sentiment particulier. Et ce n’est rien en comparaison de ceux qui ont (tout) perdu. Matériel, souvenirs voire pire… famille ou amis.

Connect soutient la reconstruction

Sensible aux questions sociales, Connect n’a pas hésité un instant à soutenir 1000handen par la réalisation d’un don. Cette ASBL regroupant des bénévoles de quatre communes de Campine : Turnhout, Oud-Turnhout, Vosselaar en Beerse, s’est rapidement engagée à œuvrer pour la reconstruction du village de Prayon, l’un des plus touchés par la montée des eaux.

De nombreuses entreprises coopèrent à cette action, en fournissant des matériaux et en embauchant du personnel pour la réalisation de travaux divers. Ce travail de fourmi s’annonce encore long et pénible. Mais l’aurait été davantage encore sans le soutien moral et physique de plusieurs centaines de bénévoles flamands.

« La plus ravissante vallée qu’il y ait au monde »

Près d’une demi-année plus tard, les stigmates laissés par les plus de deux mètres d’eau, en moyenne, sont toujours bien présents dans « la plus ravissante vallée qu’il y ait au monde », comme la qualifiait Victor Hugo. Les portes et fenêtres arrachées ont été remplacées par des panneaux de bois tandis que les tas de gravats, s’ils diminuent petit à petit par leur taille et leur nombre, font place aux engins de chantier et aux matériaux pour reconstruire mais aussi aux pancartes « À vendre ».

Pour certains, rester ou retourner sur place était trop douloureux. Subsistent aussi quelques quartiers fantômes, sombres et obscurs, qui, pendant les fêtes de fin d'année, tranchaient avec les décorations de Noël des quartiers épargnés.

90 % des bénévoles venaient de Flandre

En d’autres termes, c’est de zone de guerre dont il faut, encore, parler. Qu’avaient pu voir de leurs propres yeux les centaines de bénévoles venus du coin, de France, d’Italie, d’Autriche ou encore de Flandre.

Près de deux mois après la catastrophe, nous entendions d’ailleurs parfois plus de Néerlandais que de Français dans les rues… Et pour cause 90 % des bénévoles venaient des quatre coins de Flandre : Tirlemont, Bruges, Courtrai, Turnhout...

Si les bénévoles flamands sont aujourd'hui moins nombreux, il n’est pas rare de voir encore des propositions d’aide fleurir dans les groupes de soutien sur les réseaux sociaux ou de lire des commentaires encourageants sous des publications faisant état de micro-avancées dans la reconstruction des dizaines de kilomètres carrés ravagés.

De quoi réchauffer les cœurs des sinistrés en ces temps particulièrement difficiles.

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